Pour choisir parmi la liste des villes françaises qui semblent avoir un rayonnement européen, Google fait sa sélection. A travers son nouvel outil Google street view, les villes choisies mêlent Espace pratiqué et Espace médiatisé puisque les photos successives (tous les 10 mètres) des lieux urbains sont bien une médiatisation puissante à l'échelle mondiale de quelqu'un qui pratique la ville.
Grâce à une vue de 360° très malléable, l'internaute peut visiter la ville par un parcours photographique d'une grande qualité et d'une grande précision.
A l'origine, ce programme était conçu en mai 2007 pour 5 villes américaines dont 3 qui ont des emblèmes territoriaux puissants : New York, San Francisco, Las Vegas ainsi que Miami et Denver. En août 2008, les Japonais et les Australiens ont pu voir leurs villes avant l'Europe à l'automne.
Les villes choisies sont Lille, Lyon, Marseille, Nice et Paris. Leurs emblèmes territoriaux parlent aussi aux internautes : la promenade des anglais, le Vieux-port marseillais, Fourvière... sont désormais visibles de près. Ce choix participe à distinguer certaines villes plutôt que d'autres auprès du reste du monde. Mais un événement de grande notoriété noie cette sélection dans un méandre de photographies de lieux ruraux français.
La Bretagne a aussi son lot de photo, comme des communes de Beslé, Guémené-Penfao, Pipriac... Sont-ce des métropoles dont l'aura dépasse les frontières françaises ? Ce sont juste des communes qui ont été sur le parcours du Tour de France 2008. Ainsi, Google street view propose la médiatisation des espaces pratiqués de Chateauroux, Pau, Nîmes, Montluçon ou Roanne.
Peuvent se greffer aux 5 grandes villes selectionnées, Nantes, Saint-Etienne et Grenoble, même si l'ensemble de l'espace urbain n'est pas concerné. Concernant la Bretagne, elle est assez bien représentée.
C'est une aubaine pour cette région qui a proposé une forte communication cet été en fédérant pour la première fois, plusieurs territoires autour de la marque Bretagne 2008, dont le logo ne semble pas avoir eu un fort succès (il n'est pas recensé sur l'internet, ce qui est un comble pour un logo territorial).
Brest, Saint-Brieuc, Saint-Malo et Vannes se retrouvent mises en image sur Google, au détriment de Rennes ou Quimper.
Les villes choisies sont Lille, Lyon, Marseille, Nice et Paris. Leurs emblèmes territoriaux parlent aussi aux internautes : la promenade des anglais, le Vieux-port marseillais, Fourvière... sont désormais visibles de près. Ce choix participe à distinguer certaines villes plutôt que d'autres auprès du reste du monde. Mais un événement de grande notoriété noie cette sélection dans un méandre de photographies de lieux ruraux français.
La Bretagne a aussi son lot de photo, comme des communes de Beslé, Guémené-Penfao, Pipriac... Sont-ce des métropoles dont l'aura dépasse les frontières françaises ? Ce sont juste des communes qui ont été sur le parcours du Tour de France 2008. Ainsi, Google street view propose la médiatisation des espaces pratiqués de Chateauroux, Pau, Nîmes, Montluçon ou Roanne.
Peuvent se greffer aux 5 grandes villes selectionnées, Nantes, Saint-Etienne et Grenoble, même si l'ensemble de l'espace urbain n'est pas concerné. Concernant la Bretagne, elle est assez bien représentée.
C'est une aubaine pour cette région qui a proposé une forte communication cet été en fédérant pour la première fois, plusieurs territoires autour de la marque Bretagne 2008, dont le logo ne semble pas avoir eu un fort succès (il n'est pas recensé sur l'internet, ce qui est un comble pour un logo territorial).
Brest, Saint-Brieuc, Saint-Malo et Vannes se retrouvent mises en image sur Google, au détriment de Rennes ou Quimper.
Concernant le Tour de France, Brest a créé un logo assez profilé qui, avec l'autre logo estival, celui de Brest 2008 l'événement maritime, forme une bonne visibilité médiatique extra-nationale. En 2008, Brest est le point de départ du Tour de France, accueille de magnifiques voiliers, tout comme Rouen, et voit sa ville mise en image sur Google.